"Elephant" de G. Van Sant
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"Elephant" de G. Van Sant
Elephant est un film américain sorti en 2003 en hommage au massacre de Colombine. Le massacre s'est produit le 20 avril 1999 dans un lycée américain nommé Colombine, deux étudiants sont rentrés dans l'établissement et ont tiré pendant près d'une heure, faisant un nombre de blessés énorme et près de 15 morts, ils se sont ensuite suicidés. De plus, (heureusement pour les élèves) les bombes placées sous le réfectoire n'ont pas explosées, ce qui aurait fait plus de 2000 morts.
Pendant les trois quarts du film, il n'y a pas vraiment d'histoire, juste des morceaux de vies presque inintéressant de plusieurs étudiants d'un lycée américain, on ne connait rien de ces élèves, hormis leurs noms, il n'y a pas de flashbacks pour raconter leurs histoire, on cerne à peine leur caractère. Tout le long du film, on ressent une certaine pression mentale et une certaine angoisse qui nous retiens pendant ce film,(accentuée par le fait qu'il n'y ai pas de musique hormis celle jouée par un personnage), on s'attend constamment à ce qu'une chose de terrifiant arrive.
Il n'y a quasiment que des plans poitrine dans ce film et seulement sur les personnages souhaités, le reste est flou comme si chacun était dans sa bulle.
Le spectateur ne sait pas à quel moment se passe l'action d'un personnage car quand on pense avoir trouvé une chronologie entre toutes les jongleries du scénario, il y a forcément deux actions qui se rejoignent (deux personnages observés qui se croisent) et cela chamboule tout ce qu'on pouvait avoir prédéfini.
Pendant les trois quarts du film, il n'y a pas vraiment d'histoire, juste des morceaux de vies presque inintéressant de plusieurs étudiants d'un lycée américain, on ne connait rien de ces élèves, hormis leurs noms, il n'y a pas de flashbacks pour raconter leurs histoire, on cerne à peine leur caractère. Tout le long du film, on ressent une certaine pression mentale et une certaine angoisse qui nous retiens pendant ce film,(accentuée par le fait qu'il n'y ai pas de musique hormis celle jouée par un personnage), on s'attend constamment à ce qu'une chose de terrifiant arrive.
Il n'y a quasiment que des plans poitrine dans ce film et seulement sur les personnages souhaités, le reste est flou comme si chacun était dans sa bulle.
Le spectateur ne sait pas à quel moment se passe l'action d'un personnage car quand on pense avoir trouvé une chronologie entre toutes les jongleries du scénario, il y a forcément deux actions qui se rejoignent (deux personnages observés qui se croisent) et cela chamboule tout ce qu'on pouvait avoir prédéfini.
- Spoiler:
- De plus, à la fin, lors du massacre, la tension que ressent le spectateur contraste vraiment avec le personnage terroriste, il fait le tout avec une certaine froideur, un jeu, comme s'il avait une méthode. Cela provoque chez le spectateur une certaine insensibilité. Le fait d'avoir vu le monde sous son angle nous a aussi habitué et préparé inintentionnellement à cet acte, comme si tout le film tournait autour, pendant la tuerie, on a vraiment l'impression d'être dans la tête du tueur, et on comprend que règne une certaine folie.
ROBIN Marine- Messages : 20
Date d'inscription : 09/09/2020
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