Duel Mathys

Duel, un film par le réalisateur Steven Spielberg, et le scénario inspiré du nouvel homonyme de Richard Matheson

Le film nous maintien dans un suspense permanent pendant 86 minutes au cinéma (74 pour la version télévisée), pendant tout le film on est poursuivie par un camion au conducteur inconnu (Carey Loftin conduit le camion) sur les routes du désert. Le conducteur de la voiture(Dale Van Sickle conduit la voiture) ,David Mann(interprété par Dennis Weaver) est pourchassé par ce camion que l’on découvre avec lui, on n’est pas sûr de ce que celui-ci veut, mais il mets la vie en danger du conducteur en roulant a des allures folles, en lui montrant d’un signe de bras qu’il peut le dépasser alors qu’un voiture arrive en face, ou en poussant la voiture verre un train sur une voie ferré ou en bloquant la route.

Les personnages principaux de ce film son donc David et « le camion » car en effet on ne voit jamais le conducteur, seulement son bras ou ses jambes dépassé de temps à autres ou un reflet de son ombre. David est un homme qui roule dans une Plymouth Valiant à la couleur rouge, elle a une couleur unique dans ce désert et devient très visible, cette couleur permet de l’associer à la proie du camion. Son ennemi a donc un Peterbilt 281 attaché à sa citerne, il va lui servir d’arme dans un objectif inconnu contre M.mann, il a une couleur de rouille qui donne un aspect très vieux, tarifiant avec un visage dessiné par la face avant du camion, ce qui était le souhait du réalisateur lors de la sélection du camion.
Il y a d’autres personnage dans le film qui sont unique à la version cinéma comme la femme de M. Mann (interprété par Jacqueline Scott) et leurs enfants, j’ai également compté le train que l’on voie à plusieurs reprises car il y a des échanges de klaxon entre celui-ci et le camion.

mon avis durant le film:

Je ne sais pas ce que j’ai le plus aimé dans le film, mais je n’ai pas pu me décrocher de l’écran. On nous montre dès le début ce qu’est le camion et on a donc une peur constante pour David, ce qui nous maintient en plus dans le suspense avec la question : que veut réellement le camion ? Veut-il effrayer les gens ou les tuer ? Mais ce que j’ai adoré du film c’est les décors, ils ne sont pas dans un espace virtuel lorsqu’ils conduisent, Steven Spielberg a dit que lorsqu’il a réalisé ce film il voulait que le mouvement des véhicules soit réel, qu’il n’y ait pas une simulation mal faite des déplacements des véhicules ce qui rend le film très beau à regarder, et même si dans le film le camion atteint une vitesse de 140 km/h, durant le tournage du film ils ont dû créer la vitesse de celui-ci car il ne pouvait pas atteindre cette vitesse, certaine scène ne se passe qu’a 40 km/h mais le cadrage donne une toute autre vitesse. Les quelques passages uniques à la version cinéma sont très bien intégré au film on ne sent aperçois pas lorsque on regarde le film une première fois. Il y a aussi un excellent jeu avec le son, le son du camion devient aussi angoissant que son image, comme le passage du train où son klaxon est modifié pour nous faire croire au bruit du camion et ressentir la même chose que David lorsqu’il se réveille. Il se servira de ce film pour apporter plein de référence à ses autres créations.


C’est donc un film que je conseil très fortement de regarder accompagner et de profiter d’un terrifient voyage sur les routes, entre Santa Clarita et Palm Dale.