Rear Window d’Alfred Hitchcock
Page 1 sur 1
Rear Window d’Alfred Hitchcock
Un film américain à suspens d’Alfred Hitchcock, réalisé en 1954. D’après la nouvelle It Had to be murder de Cornell Woolrich à Los Angeles. Le film a reçu 3 nominations d’Oscar et il est considéré comme l’un des meilleurs de Hitchcock.
Un photographe (James Stexart) se casse la jambe et il est forcé à rester chez lui. Pour fuir l’ennuie, il observe le quotidien de ses voisins. Chaque fenêtre raconte son histoire, différente pour chaque personne . Grâce à cette mise en place des fenêtres on observe beaucoup le sur cadrage. Ce qui n’empêche pas la diversité des plans.
Même si sa petite copine ( Grace Kelly ) et l’infirmière (Thelma Ritter ) lui rendent souvent visite, son occupation reste d’observer ses voisins. Mais les choses commencent à être inquiétante quand il commence à soupçonner son voisin ( Raymond Burr ) dans le meurtre de sa femme. Une activité innocente qui avait pour but de faire passer le temps devient une enquête passionnante.
Le thème de l’amour revient plusieurs fois dans le film, on peut dire même que le sujet du film à part l’enquête tourne autour de ça. Les gros plan sont montrés à travers les jumelles de Jeff qui devient de plus en plus intéressé de la vie de ses voisins.
Tout au long du film les petites indices qu’on voit à travers les yeux du photographe, Jeff, nous laisse supposer notre propre version des faits.
La bande son est impressionnante et particulièrement bien choisi. Le bruitage détaillé nous plonge dans l’atmosphère mystérieuse du film.
Le caractère exagéré et comique des personnages met un peu de l’ironie dans le scénario policier.
J’ai aimé ce film pour son originalité du décor, puisqu’on nous montre que l’appartement du Jeff et une petite partie des appartements des autres voisins, ce qui n’est pas courant pour la plupart des films qui montre souvent plusieurs lieux. La fin du film est prévisible mais en même temps surprenante, on a tellement l’habitude des scénarios qui ne se suivent pas les indices données dans le film que la fin qui parait «simple» et «logiqua» peut nous surprendre. Son atmosphère qui garde le suspens jusqu’à la fin garde les doutes sur ce qui s’est passé.
C’est un film à regarder sur un grand écran pour ressentir chaque nuance d’émotion des personnages.
Un photographe (James Stexart) se casse la jambe et il est forcé à rester chez lui. Pour fuir l’ennuie, il observe le quotidien de ses voisins. Chaque fenêtre raconte son histoire, différente pour chaque personne . Grâce à cette mise en place des fenêtres on observe beaucoup le sur cadrage. Ce qui n’empêche pas la diversité des plans.
Même si sa petite copine ( Grace Kelly ) et l’infirmière (Thelma Ritter ) lui rendent souvent visite, son occupation reste d’observer ses voisins. Mais les choses commencent à être inquiétante quand il commence à soupçonner son voisin ( Raymond Burr ) dans le meurtre de sa femme. Une activité innocente qui avait pour but de faire passer le temps devient une enquête passionnante.
Le thème de l’amour revient plusieurs fois dans le film, on peut dire même que le sujet du film à part l’enquête tourne autour de ça. Les gros plan sont montrés à travers les jumelles de Jeff qui devient de plus en plus intéressé de la vie de ses voisins.
Tout au long du film les petites indices qu’on voit à travers les yeux du photographe, Jeff, nous laisse supposer notre propre version des faits.
La bande son est impressionnante et particulièrement bien choisi. Le bruitage détaillé nous plonge dans l’atmosphère mystérieuse du film.
Le caractère exagéré et comique des personnages met un peu de l’ironie dans le scénario policier.
J’ai aimé ce film pour son originalité du décor, puisqu’on nous montre que l’appartement du Jeff et une petite partie des appartements des autres voisins, ce qui n’est pas courant pour la plupart des films qui montre souvent plusieurs lieux. La fin du film est prévisible mais en même temps surprenante, on a tellement l’habitude des scénarios qui ne se suivent pas les indices données dans le film que la fin qui parait «simple» et «logiqua» peut nous surprendre. Son atmosphère qui garde le suspens jusqu’à la fin garde les doutes sur ce qui s’est passé.
C’est un film à regarder sur un grand écran pour ressentir chaque nuance d’émotion des personnages.
sofia- Messages : 26
Date d'inscription : 09/09/2020
Localisation : Sur Terre
Alexandre Pottier aime ce message
Sujets similaires
» Rear Window, Alfred Hitchcock, 1954
» La mort aux trousses, Alfred Hitchcock
» Fenêtre sur cour - Alfred Hitchcock - 1955
» La mort aux trousses, Alfred Hitchcock
» Fenêtre sur cour - Alfred Hitchcock - 1955
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum