Les Misérables

Les Misérables de Ladj Li est sorti le 20 novambre 2019. Il parle de la vie dans le quartier de ///
Dire que les films n’est pas brutal serait mentir. Mais, s’il y a quelques scènes de ce genre, il n’est pas brutal par le sang mais par la tension, accentuée par la manière de tourner qui nous donne l’impression d’y être vraiment.
Les personnages m’ont touchée chacun à leurs manières. Chris m’a fait prononcé de nombreuses insultes à son égard: il est détestables par ses choix et sa façon d’être. /// m’a donné le même sentiment en moins fort car même s’il réagit comme Chris il semble plus sympas. Stephan m’a beaucoup touchée: juste là pour être près de son fils, il arrive dans un monde qu’il ne connaît pas où les règles qu’il voit le dépasse. Salah m’a fait sentir un profond respect. J’ai eu l’impression d’être les jeunes alors que je n’ai pas du tout grandit avec eux
Quand les policiers rentrent chez eux après cette première journée, j’ai eu peur que la morale soit : Les jeunes ont soufferts et ne seront jamais vengés, ils ont perdus contre les adultes qui maîtrisent tout. Heureusement on voit que ce n’est pas la fin
Beaucoup de scènes m’ont marqué comme celles des poursuites, du flashball ou du lion. Cette confrontation a ce dernier m’a terrifiée car il était très impressionnant et j’avais peur qu’il l’attaque
Ce qui rend ce film si touchant, c’est surtout son scénario, son histoire, ses valeurs et sa morale. Il montre l’horreur qu’il y règne. Rien n’est juste. Ceux qui devraient les aider (le maire, celui qui vend de la drogue) sont autant dans le système que les policiers : ils les maîtrisent de la même manière. Les jeunes n’ont pas leurs mots à dire même quand ceux sont eux qui sont touché en premier. La seule façon de s’exprimer est la violence et la colère. Ils vont peut être trop loin mais ont ils le choix ? On les pousse à bout et la seule manière de se faire entendre est de faire mal