Film confinement

Je pense réaliser soit un film j'aime/j'aime pas, soit un film blog en confinement. J'avais l'idée de réaliser une bande annonce d'un film catastrophe sur le coronavirus, mais je n'ai pas trouvé d'idée solide et je pense que je n'ai pas suffisamment de matériel technique pour réaliser une telle bande annonce (je n'ai pas de fond vert, pas de projecteur....).
Je dois avouer que je n'ai pas encore trop creusé un projet, mais je sais que le modèle j'aime/j'aime pas m'attire le plus. Je rajouterai des extraits de films et de séries, des citations connues, etc... Mon objectif est de parler du confinement sur un ton humoristique et décontracté. Peut être serai-ce intéréssant de faire une interview du coronavirus, je ne sais pas encore. J'ai des idées mais elles ne sont pas encore trop creusées.


A voir

Ce séquencier est pour le moment incomplet. Je le complèterai demain avec de nouveaux gags, le temps de trouver de nouvelles idées.
Il est vrai qu'un séquencier ne devrait pas contenir les dialogues. Cependant j'ai quand même intégré ce que je dirai en voix-off afin que vous compreniez mieux ce que j'ai prévu de faire.

Le "véritable séquencier" sont les textes en gras.

« J’aime pas procrastiner
Mais c’est vrai que j’adore faire la grasse mat’ dans mon lit jusqu’à 11h »

Quentin qui dort dans son lit accompagné d’une musique douce. Plan moyen

« J’aime pas ne pas faire les devoirs du jour en risquant de prendre du retard.
Mais c’est vrai qu’Animal Crossing sous la couette toute l’après-midi, c’est top aussi »

Quentin, toujours dans son lit joue à Animal Crossing en souriant bêtement. Plan moyen.

« Je déteste nettoyer le siphon de ma douche
Mais c’est vrai que c’est pas cool non plus d’avoir une inondation »

Zoom sur le siphon.
Quentin met son pied dans une flaque d’eau formée à cause du siphon bouché. Gros plan sur le pied.

«J’aime pas me coucher trop tard pour garder un rythme.
Mais c’est vrai que lorsqu’on me propose de regarder une série… Résultat je me couche à 1h du mat’. »

Quentin s’apprête à se coucher, quand sa sœur déboule dans sa chambre pour lui proposer de regarder une série. Quentin accepte. Dans une autre scène, on le trouve avachi sur le canapé à regarder sa série. Succession de plans taille entre Quentin et sa sœur pour leur dialogue. Puis, plan moyen sur Quentin lorsqu’il est avachi sur le canapé.

Bande son : générique de Stranger Things

« Je déteste avoir le rideau du placard mal fermé »

Gros plan entre le rideau de placard mal fermé et les yeux de Quentin pour exprimer une forme de duel. Musique d’action (western?).
Quentin finit par sauter sur le rideau pour le fermer.

« Je déteste quand j’ai pas ma couette hyper tendue. »

Plan d’ensemble. On voit l’intégralité du lit et Quentin qui essaye de tendre sa couette au maximum.
Chute du gag lorsque Quentin tire tellement fort que la couette se détache de l’autre bout du lit. Les pieds ressortent. Gros plan sur le visage de Quentin, qui est dégoûté.

« Je déteste quand un vêtement dépasse de 2 cm de mon étagère »

Zoom sur le vêtement qui dépasse.
(extrait Friends : « rien que d’y penser j’arrive pas à dormir »).

« Je déteste quand le groupe de la classe ignore tes questions sur le cours et te lâche des vu. »

Zoom sur le téléphone sur le mot « vu » .

« Je déteste quand j’allume mon téléphone et qu’il y a trois milliards de notifications qui arrivent en même temps. »

Gros plan avec musique d’action sur les notifications apparaissant sur l’écran.
Extrait « Encore… Ça fait beaucoup là, non ? »

« C’est pénible quand tu vas sur internet deux minutes pour checker deux trois trucs rapide mais qu’en fait tu passes 3 heures dessus à regarder des choses inutiles. »

Quentin ouvre son ordinateur. Plan moyen où on voit le visage de Quentin, mais pas le contenu de l’écran sur son ordinateur.
Puis, après 3 heures passées sur Internet, Plan moyen sur l’écran qui diffuse une vidéo : « Record du plus gros rassemblement de Schtroumpfs du monde». Quentin s’est endormi devant son écran.

« J’adore regarder une vidéo de mes vidéastes favoris, jusqu’au moment où une pub « Comme j’aime » vient l’interrompre .»

Plan moyen ou Quentin est (encore) dans son lit. Caméra face au visage de Quentin et arrière de l’ordinateur visible. Quentin s’énerve lorsque la pub se lance.
Bande son : « pub Comme J’aime »

« J’aime quand ma mère me dit à table, dans la douceur et la sérénité. »

Marmotte qui hurle

Ton travail est déjà bien avancé, et assez prometteur.
Attention, ce que tu as écrit mélange un peu séquencier, scénario et découpage technique...

Une question : qui va tenir la caméra ?

Petite remarque précise :
Dans la séquence de la série avec la soeur, il n'est pas nécessaire d'entendre la réplique "mais c'est vrai que [...] couche à 1h du mat". La blague fonctionnerait mieux, je pense, avec une image de réveil, horloge, téléphone en fin de séquence.
Sinon, il y a de bons gags.

Bonjour. Dans un premier temps, je tiens à vous remercier de ce que vous pensez de mon projet.
Au niveau de la caméra, ma soeur la tiendra. Et dans la scène où elle apparaîtra, c'est moi qui tiendra la caméra.
Au niveau de la "caméra", je vais tourner avec mon téléphone en 1080p, même si je peux monter jusqu'à de la 4K60, mais je pense que ce n'est pas nécessaire.
Je prends note Baptiste de ton idée d'horloge à la fin de la séquence. Je suis d'accord que le comique sera plus appuyé si nous enlevons cette réplique.

Merci et bon confinement

Ok alors fais-toi un plan de travail et commence à tourner.
Envoie des captures d'écran sur le forum au fur et à mesure pour nous permettre d'avoir un aperçu de ce que tu filmes.

Bonjour. Je suis sincèrement désolé de ne pas avoir été très actif sur ce forum durant près de deux semaines. J'ai eu beaucoup de travail à faire et surtout, du travail que je voulais faire dès que je le recevais. Mais il y a également eu un autre paramètre qui ne m'a pas motivé à tourner ce projet: je n'étais pas trop inspiré pour ce projet. Je pense que j'ai essayé d'écrire la première chose qui m'est venue à l'esprit pour rendre un séquenceur dans les temps. C'est pourquoi, durant ce week-end, je me suis lancé dans un nouveau projet. Le film n'est désormais plus sur la base "j'aime/j'aime pas" mais sur un film documentaire qui durerait environ 5 bonnes minutes, voire même un peu plus.
Ce documentaire aborderait la métamorphose du monde depuis 2020 et les bouleversements de la société en raison de la pandémie de COVID-19 dans le monde.

Voici le séquencier, il est entièrement terminé. Il n'y a pas de séquences en particulier, mais plutôt deux grandes parties qui sont séparées par une bande de tirets. Le texte en gras sera prononcé par moi en voix-off. Les autres écritures décrivent grossièrement ce qui apparaîtra à l'écran pendant que je parle. Ces vidéos seront des extraits cours de vidéos sur YouTube, telles que des discours de présidents ou encore des images d'hôpitaux saturés (je ferai en sorte de ne pas mettre d'image sensibles ou de les flotter).
En raison des nombreux droits d'auteur, je ne pourrai pas poster la vidéo sur YouTube. Je vous ferai donc parvenir un lien Google Drive lorsque le documentaire sera terminé

Film documentaire : Une nouvelle vie


L’intégralité des textes en gras seront prononcés par moi en voix-off.

Début de la vidéo : feu d’artifice bonne année 2020.

« Qui aurait pu y croire ? Qui aurait pu imaginer ce que nous réservait 2020 ?
La nouvelle décennie, une année de plus. Qu’importe. Après tout l’Humanité continuait de vivre, l’économie continuait d’évoluer. L’Humanité aurait continué de puiser dans les réserves naturelles du globe, en se souciant peu de nos amis les bêtes et de l’avenir de mère Nature. Après tout, tant que tout se passait bien et que la production continuait, tout allait bien. Naïfs avons-nous été. ‘‘Préparez-vous. Votre vie va basculer’’ nous soufflait mère Nature. Nous avons fait la sourde oreille, comme toujours. Nous n’en avons fait qu’à notre tête. Mais cette année, en 2020, mère Nature décida de passer à l’acte au vu de nos insuffisantes actions et joua une carte que personne n’attendait. C’est ainsi que commence mon histoire. »

Images de pétroliers, Dubaï, un grand festival, un feu d’artifice avec en surimpression un ours polaire mourant de faim, les incendies en Australie et un chalutier pêchant des milliers de poissons.

Titre : une nouvelle vie

« En novembre 2019, dans la commune de Wuhan allait commencer la propagation d’un virus  dont bientôt tout le monde connaîtra son nom. Qui aurait pu l’imaginer ? Qui aurait pu imaginer qu’un petit virus microscopique allait mettre à genoux l’économie et faire basculer la vie quotidienne de plus de la moitié de l’Humanité ? Naïfs avons-nous été. Comme nous l’a montré l’actualité, l’économie, pure création humaine, entièrement dépendante de la nature, ne tient qu’à un fil. »

Image de synthèse du Covid-19. Courbe de l’économie qui s’effondre

« La Chine déploya des moyens exceptionnels pour lutter contre la propagation du virus. Grand nombre d’entres nous ont  pensé que nous étions hors de dangers. Nous avons ri de cette situation inédite. Naïfs avons-nous été. Les hommes ont créés des frontières administratives, mais mère Nature n’en a que faire. Le virus les a traversées, sans passeport, sans être poursuivi par la douane. Mère Nature a assez patienté. Naïfs avons-nous été»

Image de mêmes Covid-19. Images de synthèses du Covid-19 en surimpression.

« Le monde ne s’y attendait pas. Mais une grande guerre inédite en son genre allait faire rage dans les semaines à venir. Nombres de gouvernements ont fermés les yeux face à cette situation, se disant qu’après tout, ils avaient un système médical solide et que ce virus n’était rien d’autre qu’une grippe saisonnière. Ainsi, le quotidien ne fut pas bouleversé. L’économie continuait de grimper. Naïfs avons-nous été. »

Donald Trump, Macron et autres présidents en surimpression, rame de métro bondée, avion qui décolle, courbe de l’économie qui grimpe.

« Mère Nature ne flancha pas et décida d’aller au bout de ses convictions. Le virus arriva en Europe, puis en France le 24 janvier 2020. 1 cas, 10, 100… Il se propagea dans le pays, en Europe et dans le monde entier à une vitesse fulgurante. »

Bulletin actualités coronavius, couloirs d’hopitaux.

« Les mentalités ont évoluées et se sont ainsi rendues compte que la menace était bien réelles. Il était là. Inconnu. Et incontrôlable. Cependant, le quotidien continuait. Avec un peu plus de désinfectant et de gel hydro-alcoolique, certes. Mais il continuait. Toujours dans le même but : faire des bénéfices. Naïfs avons-nous été. »

Main se mettant du gel hydro-alcoolique. Image d’un lycée avec une cour pleine d’élèves. Personnes marchant dans une rue bondée.

« Mère Nature n’en avait pas fini avec nous. La propagation devint rapidement monde et les hôpitaux se remplirent. Mêmes les systèmes médicaux les plus solides arrivaient à saturation dans leurs services. Ceux qui se croyaient invincibles ont vu leurs semblables allongés par centaine en réanimation. Naïfs avons-nous été. »

Images de patients en réanimation.

« Puis tout s’accéléra. Les cas graves se multiplièrent et les hôpitaux tirèrent la sonnette d’alarme. Les écoles furent fermés, les grands rassemblements annulés. Le monde, désormais tourné vers cette menace commença à s’inquiéter pour leur santé et leur proches. Mais il était déjà trop tard. Naïfs avons-nous été. Un jour, le verdict tomba. »

Discours d’Emanuel Macron « Nous sommes en guerre ».

« Le confinement national fut annoncé en cette soirée du 16 mars 2020. Les français, l’Europe et la majorité des pays du monde verraient bientôt leur quotidien basculer. Et oui. Qui aurait pu croire qu’un seul virus allait tant faire chambouler notre mode de vie ? Qui aurait pu imaginer que quelque chose d’invisible clouerait les avions au sol, ferait chuter les bourses comme jamais auparavant ? Qui aurait pu imaginer qu’un jour, les vendeurs de pétrole nous donnerait de l’argent pour en acheter ? Nous n’étions pas prêt. Qui aurait pu imaginer que notre vie facile ne tenait qu’à un fil ? Naïfs avons-nous été. »

Ecoles fermées, villes désertes, avions au sol, économie qui chute, raffineries de pétrole, toujours plus de patients dans les hôpitaux et toujours plus de discours politiques. Boom de suspense. Noir.

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« Mais c’était ainsi. La situation nous imposait de rester chez nous, et ce jusqu’à nouvel ordre. Les capitales du globe furent désertées et les échanges commerciaux ralentirent drastiquement. La Chine, usine du monde, tournait au ralenti. Au début, certains gouvernements réticents n’en ont fait qu’à leur tête. Mère Nature s’est chargée de les remettre à leur place. Naïfs avons-nous été. »

Usines à l’arrêt, images de capitales du monde vides avec en surimpression des hôpitaux bondés.

« Il fallut à peine quelques jours pour que Mère Nature reprenne de ses droits. La pollution de l’air a diminué d’une manière exceptionnelle et les villes autrefois embrumées ont vues le soleil réapparaître dans leur ciel. Mère Nature a fait devenir l’eau de Venise transparente, a fait revenir les dauphins au plus près des constructions humaines et nous a permis pour la première fois depuis des décennies de percevoir la chaîne de l’Himalaya à près de 200 km à la ronde. Des choses devenues banales aux yeux de l’Humanité sont de nouveau perçues comme un cadeau du ciel. Et oui. Mère Nature est puissante. Il lui a suffi d’à peine quelques jours pour panser ses blessures les moins profondes. Cela nous prouve une fois de plus qu’elle ne dépend pas de l’espèce humaine et que nous avons plus besoin d’elle qu’elle a besoin de nous. »

Carte pollution Chine, ville de Delhi avant/après, Canaux de Venise, dauphins en Sardaigne, Himalaya, banc de poisson, lions dans la savane…

« Durant cette période de confinement, les mentalités évoluèrent. Cette épreuve nous rappela que Mère Nature pouvait nous anéantir à tout moment et que ne nous sommes rien d’autre qu’un petit grain de sable au sein de son immense écosystème. Naïfs avons nous été de penser que l’Homme était en mesure de lui faire face. En réalité, c’est elle qui peut prendre la décision de nous faire disparaître. Notre ignorance, notre cupidité et notre vanité nous mènera à l’extinction. »

Usines et pollution avec en surimpression des paysages naturels, des forêts, des déserts, des montagnes… Boom de suspense. Noir

« Et si notre avenir n’était pas aussi dystopique que cela en à l’air ? Les temps actuels sont durs, mais ne serait-ce pas un ultimatum posé par Mère Nature pour nous mettre en garde ?
Le monde tourne au ralenti. Cloîtrés chez nous, nous revenons à l’essentiel. La santé, l’alimentation, le sommeil. Nous appelons nos proches, nous communiquons avec nos voisins, nous aidons nos aïeux… Nous remercions tous les soirs le personnel hospitalier ainsi que tous nos héros du quotidien pour leur combat contre le virus. Jamais ils n’ont reçu une telle marque de  reconnaissance.  »

Images de personnes qui parlent par le biais d’un téléphone, jeunes qui aident le personnel soignant et les personnes âgées...

« Eloignés du superflu, le temps ne nous manquant plus, nous nous recentrons sur nous-même . On se découvre, on bouleverse nos habitudes, on trouve de nouvelles passions. Les populations se sont habituées à cette situation inédite et ont ainsi changé leurs modes de vie.
Cette expérience nous aura permis de prendre connaissance de la personne que nous sommes devenus sous l’influence de la société et d’évoluer comme bon notre voix intérieure nous le chuchote. Elle nous aura permis de connaître mieux notre entourage et de nous faire de nouveaux amis . »

Personnes dialoguant en FaceTime, personnes aux balcons qui parlent, qui chantent et qui dansent.

« Qui sait, peut-être cette expérience nous rendra t-elle tout simplement plus humains. Après tout, le monde n’a jamais été aussi soudé qu’en cette période de confinement, où nul ne peut se voir. Peut-être que les mentalités évolueront sur le long terme et que notre mode de vie changera en profondeur. Mère Nature nous accorde une dernière chance. Les générations futures devront l’utiliser à bon escient pour garantir la survie de notre espèce. La première pierre du monde de l’Après s’apprête à être posée. Une nouvelle ère à l’échelle mondiale est sur le point de naître . La nouvelle vie de chacun d’entre nous, ne tardera pas à commencer. Si nous y parvenons, nous nous féliciterons lorsque nous aurons appris à vivre avec Mère Nature sans lui nuire. Serons-nous capable, lorsque nous parlerons du passé, de dire fièrement ‘‘Naïfs nous ne sommes plus.’’ » ?

Pour les droits d'auteur d'extraits de quelques secondes je pense qu'il n'y a aucun problème, surtout si tu mets ta vidéo en mode privé, c'est-à-dire accessible uniquement à ceux à qui tu donnes le lien.

Peux-tu nous envoyer quelques captures d'écran de ces extraits?

Voici quelques images qui montrent un peu le ton de mon film documentaire.  De manière générale, la bande son de ces vidéos seront coupées, mais s'il y a des dialogues que je trouve intéressant, peut-être les laisserai-je dans la bande sonore finale.

Au niveau de la musique de son, j'avais pensé mettre la chanson "Sun mother". Je vous met le lien dans ce post pour que vous puissiez l'écouter. Cette chanson ne serait que pour la première partie du documentaire. La deuxième partie, beaucoup moins pessimiste doit avoir une musique un peu plus joyeuse.

https://youtu.be/9Fq13j4ygyw

Ok. Merci pour les images.
Pour la musique, essaie de la garder assez discrète dans le mixage si possible, sinon ça peut passer pour une tentative un peu grossière de manipuler les émotions du spectateur.

Bien sur. La musique sera en fond. C'est surtout ma voix qui sera au premier plan. J'avais pensé à lire mon texte de manière rapide, de sorte à accentuer le côté dramatique. J'aimerais votre avis sur cela ainsi que votre feu vert pour commencer à enregistrer et à monter.

Difficile de juger tant qu'on entend pas le résultat. Essaie une version rapide et une version plus lente (ce qui n'empêche pas la dramatisation), et fais-les nous écouter.

D’accord. Je m’en charge le plus vite possible.

Bonjour Monsieur. L'enregistrement de ma voix est quasi terminé, je m'occupe juste de peaufiner et de réenregistrer les parties ou j'ai manqué d'articulation. Je commence le montage aujourd'hui si tout se passe bien.

Important: mercredi je ne serai pas joignable car je vais à Toulouse avec ma famille. Mais je serai disponible tout le reste de la semaine

Quentin, après réécoute et réflexion, je pense que ce qui rend la voix un peu faiblarde dans ton enregistrement ce n'est pas seulement le mixage, c'est aussi ton intonation. On dirait que tu as enregistré ça à voix basse, comme pour ne pas déranger quelque qui dort dans la chambre d'à côté. Je pense qu'il faut faire d'autres essais en faisant plus porter ta voix, comme si tu parlais en public.

Bonjour Mr Pottier. J'ai monté un peu plus de la moitié de ma vidéo aujourd'hui. Autant dire que j'ai bien avancé et j'en suis très satisfait.
Je ne pense pas réenregistrer ma voix pour le moment. J'ai réduit un petit peu le volume de la musique de sorte à ce que les paroles soit plus mises en relief. Le but de parler de manière posée était recherché durant l'enregistrement. C'était mon choix de sorte à ce que l'on tende plus l'oreille pour se concentrer sur ce que je dis.

Je vous posterai la vidéo finale d'ici mercredi prochain. Je réenregistrerai vraiment si le problème persiste.

P.S. J'ai réenregistré la partie qu'il y avait à réenregistrer (l'erreur de syntaxe)

C'est avec une grande joie que je vous partage la vidéo intégrale de mon projet: une nouvelle vie

https://youtu.be/AoJiyGl1KYQ

Je vous souhaite un très bon visionnage

P.S. La qualité audio sera meilleure avec des écouteurs